C’est ce qu’a annoncé le ministre de l'Inclusion économique, de la Petite entreprise, de l'Emploi et des Compétences, Younes Sekkouri, lors de la séance des questions orales à la Chambre des conseillers, le mardi 22 octobre. Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la feuille de route pour l'emploi, qui fait partie du Projet de loi de finances 2025.
Ce programme de formation vise principalement les jeunes qui n'ont pas accès aux formations professionnelles classiques, leur permettant ainsi d'acquérir des compétences pratiques et de s'insérer plus facilement dans le monde du travail. Selon le ministre, le Maroc compte actuellement 57 centres de formation professionnelle en alternance. Le gouvernement subventionne les entreprises partenaires afin qu'elles prennent en charge la formation des stagiaires et leur versent un salaire, grâce à un contrat de travail spécifique.
Cette initiative se veut un levier pour l’insertion professionnelle, touchant des milliers de jeunes en partenariat avec des entreprises et des coopératives, qui leur offrent à la fois formation et expérience de travail.
M. Sekkouri a rappelé l'importance de la feuille de route pour le développement de la formation professionnelle, initiée en avril 2019 sous la présidence de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, avec pour objectif la création de Cités des métiers et des compétences dans chaque région. Actuellement, huit cités sont opérationnelles, offrant une capacité d'accueil totale de 35 000 stagiaires, grâce à des équipements de pointe et des installations modernes adaptées aux besoins du marché de l'emploi.
C’est ce qu’a annoncé le ministre de l'Inclusion économique, de la Petite entreprise, de l'Emploi et des Compétences, Younes Sekkouri, lors de la séance des questions orales à la Chambre des conseillers, le mardi 22 octobre. Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la feuille de route pour l'emploi, qui fait partie du Projet de loi de finances 2025.
Ce programme de formation vise principalement les jeunes qui n'ont pas accès aux formations professionnelles classiques, leur permettant ainsi d'acquérir des compétences pratiques et de s'insérer plus facilement dans le monde du travail. Selon le ministre, le Maroc compte actuellement 57 centres de formation professionnelle en alternance. Le gouvernement subventionne les entreprises partenaires afin qu'elles prennent en charge la formation des stagiaires et leur versent un salaire, grâce à un contrat de travail spécifique.
Cette initiative se veut un levier pour l’insertion professionnelle, touchant des milliers de jeunes en partenariat avec des entreprises et des coopératives, qui leur offrent à la fois formation et expérience de travail.
M. Sekkouri a rappelé l'importance de la feuille de route pour le développement de la formation professionnelle, initiée en avril 2019 sous la présidence de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, avec pour objectif la création de Cités des métiers et des compétences dans chaque région. Actuellement, huit cités sont opérationnelles, offrant une capacité d'accueil totale de 35 000 stagiaires, grâce à des équipements de pointe et des installations modernes adaptées aux besoins du marché de l'emploi.